Agnès Freschel – Visites

“ La mise en scène de Frédéric Garbe est précise. Atone. Hachée. Passive comme la jeune fille. Les silences entre les répliques, systématiques, installent un temps irréel dans un décor d’un réalisme de vaudeville (canapé, table basse, portes, bruits de pas dans le couloir…).
Des temps d’attente. Parfois interminables. Et répétés. Qui empêchent qu’on entre dans la fiction, mais disent parfaitement le malaise. ”